Les Decepticons, une race de robots(aux yeux rouges) qui se nourrit d'autres robots comme les pacifiques Autobots (aux yeux bleus). Alors que Lithone, la planète artificielle des Autobots vient d'être engloutie et refondue par Unicron (Orson Welles), et que Cybertron, la planète mère des Autobots est occupée, les Autobots préparent depuis leurs bases secrètes une contre-offensive. Cependant, les Decepticons interceptent un message des résistants concernant un avant-poste des Autobots sur la Terre. Les Decepticons décident de s'emparer de la navette d'approvisionnement de cet avant-poste afin d'infiltrer la cité terrienne des Autobots. Alors que les envahisseurs sont sur le point d'entrer l'atmosphère de la Terre, le jeune humain Daniel - le fils de Spike Witwicky - pratique la pêche avec Hot Rod (Judd Nelson) un jeune autobot capable de se transformer en voiture de course.

"There are more than meets the eyes" est le slogan des Transformers, et c'est vrai, il y a un peu plus à voir qu'une série de robots géants des années 80 : le film tiré de la série animé, tirée de la ligne de jouets Hasbro est, à la condition de retrouver son âme d'enfant, jubilatoire à bien des égards. Dans des couleurs violentes, les robots géants cubistes se défoulent sur tout ce qui bouge après une ouverture épique et dantesque. Le robot géant Hot Rod est le compagnon de jeu / garde du corps / confident / chauffeur / grand frère idéal pour le gamin que nous sommes, et le récit entier est mené tambour battant avec humour et sans débilité. Réalisé par Nelson Shin d'après un scénario de Ron Friedman (Wonder Woman, Ma Sorcière Bien-aimée, le dessin animé Iron Man), Transformers le film animé est une réussite. A noter la présence au générique d'Orson Welles (Citizen Kane, La guerre des mondes la version radiophonique), Eric Idle (Les Monty Pythons) et Leonard Nimoy (Star Trek).

 

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